Traçabilité

Traçabilité des aliments – Traçabilité en industrie agroalimentaire

Exemple d’un schéma de traçabilité

Exemple d'un schéma de traçabilité

Le présent document a pour objectif de proposer un schéma de traçabilité générique qui peut s’appliquer, avec peu de modifications, à toutes les unités de trituration des olives, tout en soulignant les prérequis nécessaires pour la réussite de son application.

Le maillon le plus difficile à maîtriser en matière de traçabilité dans les unités de trituration des olives est celui relatif à l’amont (approvisionnement). Par contre la traçabilité interne et aval sont faciles à mettre en place du moment où le procédé de trituration des olives ne fait intervenir qu’un seul intrant de fabrication (olives).

Méthodologie de mise en place de la traçabilité

méthodologie de la traçabilité

Il est à remarquer qu’il n’existe pas de modèle idéal pour la traçabilité à même d’être appliquée à toutes les filières de l’industrie agroalimentaire. Aussi est-il judicieux de mettre en place, filière par filière et en fonction des risques, une traçabilité qui tient compte des facteurs suivants : la taille de l’entreprise et l’importance de la production, les exigences du consommateur et de la réglementation.

Traçabilité des aliments

Traçabilité des aliments

Au sens étymologique, la « traçabilité » est liée à la « trace » qui, au sens figuratif est une « marque laissée par un événement ». Tracer, c’est aussi « indiquer la voie à suivre » ou encore « marquer les contours ».

Le mot « traçabilité » est relativement récent dans la langue française, et figure depuis 1998 dans le Petit Robert qui le définit comme étant «la possibilité d’identifier l’origine et de reconstituer le parcours (d’un produit), depuis sa production jusqu’à sa diffusion ».

La norme ISO 9000 : 2000 définit la traçabilité comme étant «l’aptitude à retrouver l’historique, la mise en oeuvre ou l’emplacement de ce qui est examiné».

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